Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

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Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


La Bourse de Paris quitte la BCE pour retrouver la Fed

Publié par The Algerian Speaker sur 24 Janvier 2015, 14:25pm

Catégories : #CHI IDDAHAKK ou CHI IBBEKKI

Palais Brogniart, ancienne bourse de Paris
Palais Brogniart, ancienne bourse de Paris

Galvanisée par le plan d'aide de la Banque centrale européenne à la zone euro, la Bourse de Paris va chercher à rester positive, entre le scrutin en Grèce et une réunion de la banque centrale américaine. "Le marché pourrait souffler un peu, cela serait logique" après la progression très rapide qu'il a connue depuis début janvier, souligne Isabelle Enos, directrice adjointe de la gestion chez B*capital (groupe BNP Paribas). Depuis le début de l'année, le marché a gagné 8,61%. En une semaine, il a engrangé 5,96% et terminé à 4.640,69 points vendredi. Pour autant, le marché a évacué "la principale source d'inquiétude" qui pesait sur lui depuis le début de l'année, à savoir la mise en place ou non d'un vaste plan de soutien à l'économie de la zone euro par la BCE, poursuit Mme Enos. Cela constituait "une zone à risque car les attentes étaient fortes mais elles ont été pourvues", explique-t-elle. Déterminée à contrer le risque de déflation et à stimuler l'économie de la zone euro, la BCE a annoncé jeudi des rachats massifs de dette, qui s'élèveront à au moins 1.140 milliards d'euros. Le conseil des gouverneurs "a décidé de lancer un programme élargi de rachats d'actifs" publics et privés, a annoncé jeudi le président de la BCE Mario Draghi lors de sa conférence de presse à Francfort, lançant une offensive monétaire très attendue face à la faiblesse récurrente de l'évolution des prix dans la zone euro. Ces rachats seront échelonnés à raison de 60 milliards d'euros par mois à partir de mars 2015. "L'enveloppe va finalement aller au-delà de ce que l'on pouvait imaginer", fait remarquer Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse. Le marché n'a donc pas réagi comme on pouvait s'y attendre en "vendant la nouvelle" mais il a continué de progresser, souligne-t-il. - Les marchés concentrés sur la Fed - En outre, "les investisseurs ne sont plus du tout angoissés par la Grèce dont les obligations seront concernées par le plan de la BCE", poursuit le gérant. Les électeurs grecs feront dimanche un choix historique : réélire un gouvernement largement discrédité, mais expérimenté, ou être les premiers en Europe à tenter le "non" à l'austérité, en portant au pouvoir le parti de gauche radicale Syriza. Après avoir un temps resurgi, les craintes d'une sortie du pays de la zone euro se sont estompées. En dehors du scrutin grec, les marchés devraient rester concentrés sur les banques centrales qui restent sur le devant de la scène la semaine prochaine puisque la banque centrale américaine (Fed) tient à son tour sa réunion de politique monétaire. Ce rendez-vous "devrait aussi animer les marchés" souligne John Plassard, de Mirabaud Securities. D'éventuels commentaires de la présidente de l'institution monétaire Janet Yellen sur "les impacts néfastes de l'effondrement du prix du baril (notamment sur l’emploi aux Etats-Unis) pourraient quelque peu surprendre les investisseurs", anticipe-t-il. Les marchés s'attendent à ce que la Fed annonce, tôt ou tard, une remontée de ses taux directeurs pour s'adapter à la reprise économique en train de s'amorcer aux Etats-Unis. Les indicateurs de la semaine seront scrutés à l'aune des annonces des banques centrales. Aux Etats-Unis, la première estimation de la croissance au quatrième trimestre est attendue tandis qu'en zone euro, les investisseurs seront attentifs à la première estimation de l'inflation pour le mois de janvier. Enfin, la saison des publications d'entreprises va "entrer dans le vif du sujet" aux Etats-Unis la semaine prochaine avec notamment à l'agenda Microsoft et Apple et démarrer progressivement en Europe.

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